les marseillaise c des cagolles!!!
Bouge ton Phoque
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christophe a écrit:les marseillaise c des cagolles!!!
Tony a écrit:christophe a écrit:les marseillaise c des cagolles!!!
cagolles? je peux avoir la déf !???
Fille, jeune fille aux mœurs légères ou d'un comportement vulgaire, qui se fait remarquer de par son comportement et ses allures familières.
Exemples : elle fait trop sa cagole, mais c'est une cagole !
La cagole peut se définir comme une "pétasse", ou une fille s'habillant vulgairement. Du sens masculin: càcou
L'auteur marseillais Jean-Marc Valladier en donne une définition quelque peu délirante dans "le Parler gras, Glossaire marseillais iconoclaste" :
"Hétaïre du trivial maintes fois mythifiée, quintessence d'un stéréotype qui confine au sublime, disséquée, glorifiée, célébrée à l'envie par les chantres de l'ethnologie locale, icône d'une féminité idéalisée aux quatre coins de la Galaxie mais jalousée par ses ersatz, magnifiée pour les esthètes par ses talons compensés, son rouge à lèvres bon marché et son chewing-gum baveux, la cagole et ses avatars, voire ses isomorphes sémantiques que sont la cagoline, la cagolette et la cagolasse, reste et restera pour l'éternité la pierre angulaire, l'alpha et l'oméga de l'univers fantasmatique du mâle marseillais en rut, la seule qui pourra étancher de sa seule présence son inextinguible soif d'absolu[3]."
On plus simplement que "la cagole est la femelle du cacou"
[i]"Sources Wikipédia"[/i]
« L'objectivité de l'histoire suppose-t-elle l'impartialité de l'historien ? »
« Le langage trahit-il la pensée ? »
« Est-il absurde de désirer l'impossible ? »
Tony a écrit:j'aurais pris la derniere :
« Est-il absurde de désirer l'impossible ? »
Le sujet porte sur l'objet du désir et sur le moteur du progrès. Il convient de montrer d'une part que le goût de l'inaccessible peut être dangereux parce qu'aliénant, mais d'autre part que le désir de l'impossible sert d'émulation à la connaissance et repousse les limites de notre condition. Il s'agit donc d'établir qu'un tel désir n'est absurde qu'en première analyse.
Dans notre culture, nombreux sont les récits qui relatent l'expérience d'un désir fou. C'est le cas, par exemple, de la tour de Babel ou du mythe d'Icare. Or chaque fois l'histoire finit mal : Nemrod est châtié, Icare se brûle les ailes et chute dans l'abîme. Tout se passe comme si la quête de l'inaccessible était vouée à l'échec. N'est-il donc pas absurde de désirer l'impossible ?
L'absurde désigne ce qui est contraire à la logique ou ce qui n'a pas de sens. Est impossible ce qui ne peut absolument pas être (le contradictoire) ou ce qui est inaccessible du fait de l'incapacité morale ou physique du sujet. Quant au désir, il est l'expression d'un manque ou d'une puissance à vouloir quelque chose. Dès lors, on peut se demander si désirer l'impossible correspond à un désir conscient qui consisterait à repousser les limites de l'humain ou s'il ne s'agit pas plutôt d'une tension inconsciente qui, malgré nous, entraîne à viser ce qui fatalement nous échappe. Dans le premier cas, l'impossible ne serait que transitoire et donc improprement nommé. Dans le second, l'impossible le serait définitivement et le désir qui le viserait nécessairement insatisfait. Tout le problème se resserre ici entre le fol espoir d'un dépassement de notre finitude et le drame d'une frustration plus ou moins volontaire. La quête de l'impossible est-elle donc pour l'homme une chance ou un risque de perdition ?
On se demandera si la quête de l'inaccessible peut avoir une cause rationnelle, si se contenter de vouloir seulement le possible lui est préférable ou si finalement, en dépit de son irréductibilité, l'impossible peut être l'objet d'un désir légitime.
Micka a écrit:Tony a écrit:j'aurais pris la derniere :
« Est-il absurde de désirer l'impossible ? »
Moi aussi, en résumé, voici ma pensée :
- Code:
Le sujet porte sur l'objet du désir et sur le moteur du progrès. Il convient de montrer d'une part que le goût de l'inaccessible peut être dangereux parce qu'aliénant, mais d'autre part que le désir de l'impossible sert d'émulation à la connaissance et repousse les limites de notre condition. Il s'agit donc d'établir qu'un tel désir n'est absurde qu'en première analyse.
Dans notre culture, nombreux sont les récits qui relatent l'expérience d'un désir fou. C'est le cas, par exemple, de la tour de Babel ou du mythe d'Icare. Or chaque fois l'histoire finit mal : Nemrod est châtié, Icare se brûle les ailes et chute dans l'abîme. Tout se passe comme si la quête de l'inaccessible était vouée à l'échec. N'est-il donc pas absurde de désirer l'impossible ?
L'absurde désigne ce qui est contraire à la logique ou ce qui n'a pas de sens. Est impossible ce qui ne peut absolument pas être (le contradictoire) ou ce qui est inaccessible du fait de l'incapacité morale ou physique du sujet. Quant au désir, il est l'expression d'un manque ou d'une puissance à vouloir quelque chose. Dès lors, on peut se demander si désirer l'impossible correspond à un désir conscient qui consisterait à repousser les limites de l'humain ou s'il ne s'agit pas plutôt d'une tension inconsciente qui, malgré nous, entraîne à viser ce qui fatalement nous échappe. Dans le premier cas, l'impossible ne serait que transitoire et donc improprement nommé. Dans le second, l'impossible le serait définitivement et le désir qui le viserait nécessairement insatisfait. Tout le problème se resserre ici entre le fol espoir d'un dépassement de notre finitude et le drame d'une frustration plus ou moins volontaire. La quête de l'impossible est-elle donc pour l'homme une chance ou un risque de perdition ?
On se demandera si la quête de l'inaccessible peut avoir une cause rationnelle, si se contenter de vouloir seulement le possible lui est préférable ou si finalement, en dépit de son irréductibilité, l'impossible peut être l'objet d'un désir légitime.
Voila. Et si il y en a qui sont pas d'accord avec ma pensée :
http://philomag.com/fiche-philinfo.php?id=132
En tout cas, maintenant avec du recul, je comprends mieux la philosophie, en gros, moi je dit qu'on devrait passer une épreuve de philo plus tard (vers 40 ans) et enfin, on nous donnerai le bac seulement là. Ca tente quelqu'un d'écrire un livre philosophique ?
Tony a écrit:ils auraient pu aussi passez sa comme questions :
" Le bac est-il suffisant pour décrocher un emploi ?
Vous avez 40 ans pour répondre à cette question"
mdr cf : les guignols
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